Plus loin, il s'interroge sur les coutumes étranges
des habitants de cette planète qui consistent
à inverser les plans d'orientation.



Puis il avance et contourne des fumerolles
s'échappant du sol avec une odeur de souffre.









Ce sont des titans pétrifiés qui vomissent
cette fumée nauséabonde.

Difficile d'obtenir un renseignement de leur part :
ils ne parlent pas la bouche pleine.



Nemo poursuit sa route.
La température chute au rythme de ses pas.









Un signal étrange se fait entendre près du rivage.



C'est une baleine qui lance un appel de détresse
avant d'être dépecée par les pêcheurs.
Bientôt, il n'en restera rien.



Cette image n'était pas réelle.
Plutôt celle d'un souvenir lointain et douloureux,
lorsque les baleines s'échouaient
sur les plages sanglantes de son enfance.






Il s'égare toujours un peu plus
dans un décor qui lui est familier.






Odessa. Recréée de toutes pièces
à partir de ses souvenirs.
Ses rues cosmopolites...




et ses escaliers gigantesques.



La moindre embarcation
est pourrie par le temps.
Impossible de prendre le large.
























Retour au port d'Odessa.
Au moment où il se sent gagné par le desespoir,
un regard se pose sur lui.